Eldorado, Paris: December 5th, 1985

Very possible a recording of this concert exists. A reference to the concert appears in what seems to be a list of concert recordings at a pastebin site (now defunct)

“On the right, Paddy McAloon, tough guy with something of the rustic about him, Gretsch slung around his shoulders. To the left, Wendy Smith, delicate, blonde and elusive, rooted to the microphone stand. To the rear, by way of stage dressing, the rest of the group with the temporary addition of a keyboard player. 

“And lastly, facing them, a great Eldorado crowd, full to bursting with a motley collection of spectators, gathered together as much by FM Radio and the hit “When Love Breaks Down” as by the discreet charm of two delicately shaded albums. In the course of a little over an hour, Prefab Sprout were to bring the crowd together with their fluid and precisely chiselled rock, superbly augmented by a sound mix verging on perfection, playing almost the entirety of Steve McQueen with studied care, rocking the crowd with the opening chords of “Goodbye Lucille #1” (undoubtedly one of their best songs) or “Faron Young”, slipping in en route some new songs from their next album, and finally leaving a memory of an enjoyable but passionless concert which quickly dissipated in the chill of the night.”

(Rock & Folk Magazine, February 1986)

“Originellement prévu au Palace, le concert de Prefab Sprout a été déplacé à l’Eldorado, sans que je sache ce qui a pu motiver ce changement, les deux salles me paraissant de taille similaire… Peu importe, en fait, pour ma rentrée parisienne, je suis ravi de retrouver l’Eldorado, l’une de mes salles favorites de tous les temps (et le son y est presque toujours excellent, ce qui ne gâche rien !)…

“D’abord, il y a la surprise que de voir surgir un Paddy McAloon rasé de près, propre sur lui et enthousiaste, fort loin de l’image médiatique de poète maudit, que son propre groupe avait failli virer quelques mois plus tôt. Il a l’air a priori d’un type assez simple, presque « trivial », en tout cas il tranche avec la délicate et vaporeuse Wendy Smith, plantée derrière son micro à gauche de la scène. A noter qu’il y a sur scène un claviériste supplémentaire, qui ne fait pas partie du groupe, et qui est chargé d’enrichir la tessiture de la musique. Pas très technique (en particulier la voix de Wendy m’a paru régulièrement mal placée, voire fausse…), assez émouvant par instants, le rock jazzy et assez intemporel de Prefab Sprout rappellera parfois e soir la fougue et la grâce d’Aztec Camera, en tout cas plus que le style et la froideur d’une Sade par exemple. Public amical, assez mélangé, du fait du mini-succès sur les ondes FM de leur hit When Love Breaks Down, un public conquis d’avance par le très bel album « Steve McQueen », même si l’ambiance ne fut pas délirante : au final, même si j’ai apprécié le « Smithsien » Faron Young, qui rocke un peu, ou le superbe Goodbye Lucille #1, l’une des plus belles chansons de Paddy, je sors de cette soirée avec l’impression d’avoir assisté à un concert agréable, mais pas du tout marquant, en tout cas bien inférieur à ce que « Steve McQueen » nous avait laissé espérer… Il faudra retourner voir ce groupe original sur scène, même si ma première impression est qu’il s’agit avant tout d’une musique de studio, sans doute trop ciselée et sophistiquée pour le live…”

(Play it Loud Blog)

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